Fevrier 2017: Ethiopie: Blog de Felix Brentrup, partie 1

Depart dans un monde étrange  

Brentrup

Blog de felix Brentrup

 

 

 Partie 1: Lalibela – La nouvelle Jerusalem dans les hautes colinnes Ethiopienne

Pendant l”automne 2016, je me demandais bien ce que je ferai après avoir terminé mon cycle secondaire, la réponse était très clair. Avant de commencer mes études universitaires, j’aimerai travailler comme volontaire en Afrique. Je ne pourrai savoir comment je suis parvenu à cette decision donc je ne maitrise pas bien, mais probablement la curiosité et l’interêt dans d’autres cultures, découvertes, et un peu d’idealisme.

Après avoir obtenu mon diplome du secondaire, j’ai commence à cherché une opportunité de volontaire dans une organisation adequate.c’était difficile de trouver une organisation qui repondait à mes critères de recherches et a leur attentes, j’étais sur le point de me décourager quand par pure coincidence, j’ai découvert la fondation Peter Bachmann, j’ai écrit au Directeur et en fin septembre nous nous sommes rencontrés pour le première fois, nous avons donc decidé que je voyagerai sous le couvert de sa foundation en Ethiopie et au Kenya pour quelques mois. La première destination prevu être Lalibela, une petite ville dans le nord des hautes collines Ethiopienne.

Deux mois plutard j’ai embarqué d’un avion de Zurich pour 13 heures de vol plutard atterir dans un autre monde. Le trajet entre l’aéroport et la ville me paraissait comme dans un film. Apart quelques endroits butimés, toute la route était poussièreuse et pleins de trous, avec des minibus des hotels et les charrettes  qui ont envahi la ville les 5 dernières années, les cultivateurs l’utilisent pour conduire leur troupeaux et moutons, ânes vers les nouveaux paturages vert. La route est parcémé de petites maisons en hûtes et des toîts en pailles, ses maisons  sont traditionnellement appelés TUKULS, on les retrouvent aussi au centre ville.

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Lalibela, est une ville à 2500 m au dessus de la mer, et celèbre pour ses églises en rock et pierres, on l’appellait ROHA, mais elle à été renommé après la construction de la plus grande partie des églises de pierres, King Lalibela(c.1185-1225 AD).

Après la conquête musulmane de Jerusalem, le roi voulait construire une nouvelle Jerusalem hors de Roha, sa ville. Jordan c’est la rivière qui coule le long de lalibela Durant la saison pluvieuse, après la rivière où Jean baptiste avait baptisé Jesus. Aujourd’hui Lalibela est la ville sainte et la plus importante destination des pélérins des chretiens orthodoxes Ethiopien.

Naturellement, les églises de pierres attirent aussi les touristes étrangers. Pour cette raison, il ya plus de 30 hotels dans la ville avec juste 40000 habitants. Tous très cher pour les pélérins locaux. Les hotels, est une île très prospère dans cette ville qui est à l’opposé très pauvre. Il n ya pas d’industries ou des marchés ici. Le seul moyen de gagner de l’argent c’est par le tourisme qui à chuté de 98% à cause des conflits politique avec les pays voisins.

Je mentirai si je présume n’avoir pas été affecté par la situation ici , car n’ayant jamais vu une si grande pauvrété avant. Qu’importe où tu regardes, tu le vois. 10 personnes qui vivent dans une petite maison, sans éléctricité, ni eau et se pavanant avec des chaussures et des vêtements abimés, passant des journées affamés sans soutien des organisation comme Plan international ou Peter Bachmann Fondation(PBF).

PBF joue une role très special à lalibela. Il ya 12 ans, le fondateur de la Peter Bachmann Fondation est venu à lalibela pour la première fois, quelque temps après, le premier projet à commence. En ce moment plus de 60 autres projets donc les bourses, du travail pour les personnes âgés, la creation d’emplois par le capital et le soutien dans les petits commerce.

Peter Bachmann est venu lui meme vivre ici. Il est un dernier espoir pour les populations de Lalibela dans leur quête d’une vie meilleure. Quand Peter Bachmann est venu à Lalibela en Janvier, c’etait execptionnel de voir ce qui s’est passé en quelques Jours, la nouvelle de sa presence à fait le tour de la ville, plus de 100 personnes nécesiteuses, inclus les personnes agés, malades, aveugles, tous dans les bureaux de la PBF pendant des jours et nuits dans l’espoir de lui addresser la parole avec l’espoir qu’il va resoudre leur problèmes.

Il m’as été démandé l’autre jour ci j’ai déjà regreté être venu ici, Je pouvais le nier sans mentir. C’est sûr tout n’est pas parfait. La nourriture par exemple, il faut s’y habitué, biensûr mon pays la Suisse me manquait en ce moment, mais le bon coté est clairement dominant. Qu’importe où tu es à lalibela, il ya toujours une vue magnifique tout autour des montagnes et vallés. C’est aussi très plaisant avec les 20°C.

Avec une faible humidité, mais par dessus tout Je me suis sentit très à l’aise avec l’acceuil, l’hospitalité et la chaleur des personnes. En peu de temps j’ai été amis de certains, je ne me suis jamais sentit seul du tout. Par exemple mes amis ont cru que je serai isolé le soir de Noel et ils ont organisé une petite fête suprise pour moi, malgré qu’il celèbre noel le 8 janvier.

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La célebration de la fête de noel, appelé ici GENNA est très spectaculaire. Comme précèdement dit, Lalibela est la plus importante destination des pélérins chretiens orthodoxes. Pour le gouvernement, chaque année 200,000 pélérins de tout le pays font leur entré dans cette petite ville des collinnes Ethiopienne.

Il ya 5 pélérins pour chaque habitant, c’est incroyable de voir comme la population envahit cette petite ville, partout tu peux voir les pélérins avec leur robes blanches. Certains viennent dans des bus tout pleins et d’autres par les pirogues. La plupart qui ne peuvent pas s’offrir un moyen de transport viennent néamoins à pied. Ils font généralement une longue marche , dure et laborieuse pour arrive à la nouvelle Jerusalem. Ils restent ici pendant deux ou trois jours pour celebrer GENNA.

La nuit de noel et le matin de noel, ils sont dans les églises où ils font des heures d’adoration intense. Après ils célebrent avec leur amis et familles, en buvant une bière Tella, une bière Ethiopienne pour les occasions specials, danse et chants.

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Pour la celebration de GENNA, les jeunes, inclus les menbres de la PBF, organisent des groupes pour recevoir les pélérins après un long voyage. Ils lavent et soignent leurs pieds enflés, leur offre de l’eau et la nourriture. Certains leur offer meme un abris dans leur maison.

Malheureusement tout ne semble pas toujours comme dans une celebration de noel, il ya des patrouilles de polices tout autour de la ville armée de Kalashnikovs, ceci est nouveau dût à la protestation des mois derniers, le gouvernement qui craint une revolte des protestataires.

Comme on peut l’assumer, il ya un boum economique à lalibela chaque année Durant cette période. La ville est transformé en un grand marché. Les rues sont bordés des stands, où on peut tout acheter, des lunettes aux robes traditionnelles, des croix et autres objets religieux. Le prix des hotels montent à plus de $130 la nuit, qui est un bon salaire mensuel. Seulement les personnes riches peuvent s’offrir ce prix.

Les pélérins qui n’ont pas de familles sont obligé de dormir dans des stands où en plein air meme comme il est très froid la nuit.

 

C’est pour cette raison que PBF à en projet de construire un centre appelé AMANUEL PILGRIM VILLAGE, qui pourrai apporter une première aide médicale, la nourriture et un abris pour ceux qui sont dans le plus grand besoin et pour les pélérins comme son nom l’indique.

L’hospitalité donc fait preuve la culture Ethiopienne est vraiment reconnut. Néamoins c’est cette hospitalité que je me rapellerai le plus en toute chose. Meme comme je quitterai lalibela après deux mois et demi, je suis sûr que je retournerai ici. Lalibela est seulement pauvre sur le plan économique mais Lalibela est  plus que riche.

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